Pendant des années, j’avais le gras du ventre collé à la peau. Malgré les régimes, malgré le jogging… Jusqu’à ce que je découvre comment accélérer mon métabolisme (de la bonne façon).

Et si tu fais beaucoup d’efforts sans résultat, tu peux finir par croire qu’il n’y a plus rien à faire, que ton métabolisme est cassé. Mais je suis là pour te dire que tu peux relancer ton métabolisme.

Tu peux revoir des progrès encourageants et perdre le ventre… sans te ruiner en pilules miracles ou en gadgets inutiles. Mais simplement en appliquant 3 principes simples, basés sur la science de l’évolution humaine et confirmés par des études sérieuses.

Ce qui ne marche pas (à ne pas faire!)

Mais avant de te les révéler, laisse-moi te raconter mon histoire pour que tu comprennes ce qui ne marche pas et pourquoi.

Si tu es nouveau, je m’appelle Dany. Je suis devenu coach en nutrition certifié après avoir galéré des années avec ma forme. Et sur cette chaîne, je partage des conseils simples pour perdre le ventre, retrouver la forme et t’épanouir dans ta vie… même si tu as un emploi du temps chargé.

À la fac, je pouvais manger n’importe quoi. Et je ne prenais pas un gramme. Mais quand j’ai approché la trentaine, les choses ont changé.

Avec le métro boulot dodo, j’avais développé un petit ventre qui n’était pas là avant.

Donc j’ai commencé un régime. Pâtes complètes, blanc de poulet, brocoli cuit à l’eau et thon en boîte. J’ai repris le sport aussi : 3 séances de jogging par semaine et 50 abdos tous les soirs.

Les premiers kilos ont disparu rapidement. Super encourageant.

Mais quelques semaines après, ça a stagné. Donc j’ai réduit les quantités et je suis passé à 5 séances de jogging.

Et malgré mes efforts acharnés, la balance ne bougeait pas. Je n’y comprenais rien.

J’y pensais la nuit. Je me sentais fatigué. Et j’ai fini par m’isoler socialement. Parce que je savais que si je sortais voir mes amis, je serais frustré de ne pas pouvoir manger ce que je voulais. Ou bien j’allais craquer et me sentir coupable après.

Donc je restais à la maison, à traîner sur Internet jusqu’à pas d’heure…

Et un jour, j’ai atteint le point de non-retour.

Les gens autour de moi commençaient à se marier et un de mes amis m’a demandé d’être son témoin. Le jour du mariage arrive, j’enfile mon costume. Je me penche pour faire mon lacet…

Et là, j’entends… CRAC… Mon pantalon avait lâché à l’entrejambe.

C’est ce jour-là que j’ai réalisé que c’était trop.

Plus jeune, j’étais sportif, j’étais jovial. Les gens autour de moi me tenaient en exemple. Mais dans le miroir, je ne voyais plus cette personne. J’avais le visage fatigué. J’avais pris du bide. Et je ne me reconnaissais plus.

Ça a été la sonnette d’alarme dans ma tête et je me suis dit: “Dany, il faut faire quelque chose maintenant. Parce que si tu continues comme ça… ça va faire que s’empirer.”

Pourquoi ton métabolisme est déréglé

Donc j’ai passé nuits et jours à dévorer tout ce qui parlait de perte de poids. Je lisais des articles, j’allais sur les forums, je passais des heures à la Fnac après le boulot.

Et un jour, je suis tombé sur un livre qui a changé ma vie.

Ce bouquin, qui est devenu un best-seller international, ne parlait pas de régime, ne parlait pas de sport… Mais de l’évolution de l’espèce humaine. Dans ce livre, l’auteur mentionne une idée cruciale… Qui fut la clé pour comprendre pourquoi mon métabolisme était bloqué.

Il y a 10 000 ans, un événement majeur a bouleversé notre évolution : la révolution agricole. Nous nous sommes sédentarisés pour cultiver le blé. Ça nous a permis de nous affranchir de la survie et de développer notre civilisation.

Mais ça a aussi apporté un lot de problèmes inattendus. Parce que 10 000 ans, c’est une goutte d’eau sur l’échelle de notre évolution.

Durant les 8 millions d’années précédentes, l’homme vivait de chasse et de cueillette. Notre code génétique est pratiquement identique à celui de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs.

Aujourd’hui, notre façon de vivre et de nous alimenter va à contresens de notre ADN. C’est ça qui cause le dérèglement de notre métabolisme. Et d’après les anthropologues, c’est l’origine de l’épidémie d’obésité du XXe siècle.

J’ai continué mes recherches, j’ai découvert les 3 grands principes que nous avons perdus en cours de route, et qui m’ont permis de retrouver un métabolisme en bonne santé.

Le régime qui a détruit le métabolisme de ma mère

Heureusement pour moi, j’en étais pas encore au point d’être obèse.

Mais par contre, pour ma mère, c’était grave.

Elle était en surpoids et le docteur lui a dit qu’elle avait un début de diabète. Donc elle a consulté une diététicienne qui lui a donné ce que j’appelle le plan de régime copié-collé.

  • Le matin : une tranche de pain complet, un peu de beurre allégé, un chouia de confiture et un verre de jus d’orange ou de lait demi-écrémé.
  • Midi et soir : des légumes, du poisson blanc ou une protéine maigre, et une petite tranche de pain complet.
  • Et en collation : 1 fruit ou un yaourt nature.

En principe, ça paraît sain. Mais pas vraiment.

Ça n’a pas résolu les problèmes de ma mère. Et quand j’ai essayé… ça a fonctionné au début… mais très vite ça a bloqué… Sans parler du fait que j’avais constamment faim et que j’étais tout le temps fatigué.

En fait, ça ne marchait pas parce que je privais mon organisme d’un élément essentiel : les bonnes graisses naturelles.

Lorsque nos ancêtres chasseurs-cueilleurs avaient la chance de capturer du gibier, du poisson ou autre animal… Ils mangeaient tout : les abats, la moelle des os, la peau quand elle était comestible. Dans toutes les cultures, on retrouve des plats avec ces aliments oubliés. En France, on a l’os à moelle, le ris de veau ou la cuisson à la graisse de canard par exemple. En Asie, on mange des salades à base de pattes de poulet. Et dans de nombreuses régions, les oreilles de cochon sont même considérées comme un mets délicieux.

L’épidémie du syndrome métabolique

Aujourd’hui, tout le monde a peur du gras. On a peur que ça nous fasse grossir. Que ça nous rende malade. Ce qui est complètement faux. Tu sais d’où vient cette histoire ?

Dans les années 50, des chercheurs ont conclu que la graisse saturée était responsable des maladies cardiaques.

On s’est aperçu bien plus tard que ce n’était pas vrai du tout.

Mais le mal était fait.

Les industriels agro-alimentaires ont exploité cette peur et ils ont matraqué les gens à coup de publicité pour dire :

“la graisse va bloquer vos artères, la graisse va vous tuer” et ils ont inondé le marché de produits allégés, de produits céréaliers petit déjeuner, de gâteaux diététiques…

Tous avec un point commun : “faible en graisse”… mais très riche en sucre.

Cette peur du gras a conduit à une surconsommation de produits transformés riches en sucre, féculents, céréales… et ça a entraîné la plus grande crise de santé du XXe siècle connue sous le nom de “syndrome métabolique” ou encore “syndrome de résistance à l’insuline”.

Cela se traduit par un tour de taille important, une glycémie élevée, beaucoup de mauvais cholestérol et ça conduit à des risques de maladies graves comme le diabète de type 2 ou l’infarctus.

Dans une étude sur 34 000 personnes, les chercheurs se sont aperçus qu’une alimentation faible en graisse augmente le risque de développer le syndrome métabolique… même en mangeant 500 calories en moins !

C’est le cas typique d’une personne qui fait un régime et qui se retrouve avec un métabolisme ralenti. C’est exactement le plan de régime copié-collé qu’a dû suivre ma mère sans succès.

Booster métabolique n°1 : Manger comme nos ancêtres

Et je vais te dire ce qu’on a fait à la place…

La première chose, ça a été d’arrêter de s’obséder sur les quantités, de s’obséder sur les calories.

J’ai mangé à ma faim une abondance d’aliments dits “entiers”. J’ai réduit considérablement les produits transformés à base de céréales, les plats cuisinés à réchauffer ainsi que les produits allégés.

J’ai fait comme nos ancêtres : si ça poussait et existait à l’état naturel, si ça avait des griffes ou des dents… alors je mangeais à ma faim sans me soucier de la quantité. Et je mangeais notamment plus de graisses naturelles : poisson gras, peau du poulet, avocat, huile d’olive, etc.

Doucement, j’ai retrouvé de l’énergie. J’avais la sensation de revivre. Et progressivement, ça m’a permis de rétablir la bonne santé de mon métabolisme. Parce qu’au bout de quelques semaines, j’ai commencé à revoir du résultat sur la balance.

C’est con, mais ça a été un soulagement de voir que je n’étais pas cassé. Que je n’avais pas un problème de génétique. Ça m’a redonné de l’espoir.

Et pour ma mère, ça a été pareil. Elle a perdu du poids et son docteur lui a dit qu’elle était désormais hors de danger. Gros soulagement. Et ça a marché aussi pour d’autres personnes comme Nicole qui a perdu plus de 30 kg avec ma méthode alors qu’elle a 60 ans.

L’adaptation métabolique… C’est quoi et que faire ?

Seulement, quand tu perds du poids encore et encore, ton métabolisme finit par ralentir naturellement. C’est un mécanisme normal qui est programmé en nous. Ça s’appelle “l’adaptation métabolique”.

Si nos ancêtres chasseurs-cueilleurs ne trouvaient rien à manger pendant des semaines ou des mois, leur métabolisme ralentissait afin de maximiser les chances de survie.

Sauf qu’aujourd’hui, ce mécanisme de survie fonctionne contre toi.

Ton corps ne sait pas que tu peux chercher à manger dans ton frigo à n’importe quelle heure, ou descendre au supermarché te ravitailler.

Après une longue période de régime, ton corps finit par croire que tu es en période de famine.

C’est pour ça que plus tu réduis tes calories, plus ton métabolisme ralentit. Plus tu ajoutes du jogging, plus tu réduis ton énergie disponible. Et plus ton métabolisme ralentit encore.

Et quand ça m’est arrivé, j’avais l’impression d’être pris au piège. De ne pas pouvoir m’autoriser un seul écart sans risquer de reprendre tout le poids perdu.

Comment relancer son métabolisme

Et la solution, c’était de reproduire le rythme alimentaire de nos ancêtres.

Imagine nos ancêtres de la préhistoire : ils avaient des périodes de disette, comme nous lorsqu’on est au régime… et parfois, ils avaient la chance de faire un gros festin nutritif s’ils trouvaient un arbre fruitier, une ruche pleine de miel ou un gros gibier.

Donc j’ai simplement répliqué ce rythme ancestral avec la technique de la recharge nutritive.

De temps en temps, je faisais un repas plus copieux pour faire comprendre à mon corps qu’il n’est pas en période de famine.

Attention, le but n’est pas de manger en excès de tout et n’importe quoi. Mais simplement d’avoir périodiquement une alimentation plus copieuse, à satiété et notamment plus riche en glucides. Et ce petit changement a eu un impact puissant. Ça permet de relancer une hormone qui s’appelle la leptine et qui accélère le brûlage des graisses et le métabolisme. Et en plus ça m’a permis de profiter de choses que je ne pensais plus pouvoir manger comme une pizza, des sushis ou un pain au chocolat. Et au lieu de voir des résultats comme ça… J’ai commencé à voir des résultats comme ça.

Booster Métabolique n°2 : Dormir comme nos ancêtres

Donc là, les choses devenaient sympas. J’avais relancé ma perte de graisse, je me faisais plaisir parce que le gras c’est la vie! J’allais régulièrement au resto sans me sentir coupable. Je reprenais confiance.

Mais un truc n’allait pas. J’avais l’impression d’être mou. J’avais atteint un poids que je n’avais pas vu depuis mes 20 ans… mais impossible de débloquer ce nouveau plateau et de perdre la dernière couche récalcitrante du bas ventre.

Pourquoi ça marchait plus? Pourquoi ça bloque encore?

Je recommençais à douter. Et je n’arrivais pas à savoir d’où ça venait. L’ascenseur émotionnel.

Et un jour, comme ça, j’ai découvert le problème.

J’en avais déjà entendu parler. Mais je ne me rendais pas compte à quel point c’était important. Et quand je l’ai résolu, ça a tout changé… comme ça.

À ce moment dans ma vie, les choses prenaient un bon tournant. J’avais rencontré quelqu’un. Une nana super fit en plus et ça devenait sérieux. Et naturellement, on a décidé d’emménager ensemble. Je t’avoue, ça a été le grand saut pour moi. Parce que j’avais mes petites habitudes, donc je savais que ça allait chambouler pas mal de choses.

Et ça a pas manqué!

En semaine, je me couchais souvent assez tard vers minuit, une heure du matin. J’aimais bien mater un film, traîner sur YouTube, lire des mangas.

Et puis le week-end, je me faisais une bonne grasse matinée pour rattraper.

Sauf que ma copine n’était pas comme ça. À 22h, elle bouquinait un peu. Et à 22h30, elle était déjà en train de ronfler. (j’exagère un peu, mais pas loin).

Alors que moi, j’étais allongé les yeux grands ouverts, à regarder le plafond, pendant une heure, deux heures… puis je m’endormais… mais je me réveillais en plein milieu de la nuit. Parfois j’arrivais à me rendormir, parfois pas. Et quand le réveil sonnait, j’étais encore plus fatigué qu’avant.

Ça a été un calvaire au début.

Mais après quelques semaines, un truc s’est produit. Un truc miraculeux.

Mon corps a fini par se régler. Et j’ai retrouvé une énergie que je n’avais pas connue depuis longtemps. Et surtout, d’un coup j’ai perdu beaucoup de poids. Comme si le plateau s’était soudainement brisé.

Mais en vrai, si on fait le parallèle avec nos ancêtres chasseurs-cueilleurs : ça fait sens encore une fois. Ils vivaient au rythme du soleil. Ils dormaient toujours à la tombée de la nuit et se réveillaient naturellement au lever du jour.

Donc le second principe: c’est de dormir comme nos ancêtres. Et ça se résume en 3 choses :

Dormir suffisamment

Quand tu manques de sommeil, ton corps est tellement stressé qu’il s’accroche à ta graisse pour conserver de l’énergie.

Des chercheurs ont comparé un groupe qui dort 8h par nuit à un groupe qui dort 5h30. Et après seulement 2 semaines, ils ont remarqué que le groupe qui manquait de sommeil perdait la graisse 2 fois moins vite… alors qu’ils avaient le même déficit calorique.

L’erreur commune qui nous rend gros et malade

Enormément de recherches ont été faites à ce sujet . Et aujourd’hui, Il n’y a plus aucun doute : le sommeil joue un rôle crucial pour le bon métabolisme du glucose et la régulation de l’appétit.

Et une seule nuit de sommeil insuffisant rendent nos cellules résistantes à l’insuline.

En réponse, ton pancréas produit encore plus d’insuline, ce qui entraîne encore plus de stockage en graisses.

Les chercheurs ont constaté qu’après seulement deux nuits à manquer de sommeil, la sensibilité à l’insuline diminue de 30 %.

Ce qui signifie que les risques de convertir ce que tu manges en graisse abdominale augmentent aussi de 30 %.

Avoir un sommeil de qualité

On a hérité de nos ancêtres une horloge interne qui s’appelle le rythme circadien.

Quelques heures avant ton réveil, ton corps sécrète un gros pic de cortisol pour te réveiller. Et il diminue graduellement au fil de la journée pour te permettre la relaxation et l’endormissement.

Donc si tu perturbes ce cycle naturel avec des lumières artificielles le soir, ça empêche ta bonne récupération.

Le petit changement qui a eu un impact énorme, c’est de m’interdire les écrans après 21h30. Ça a amélioré la qualité de mon sommeil. Et surtout, ça m’a empêché de me faire aspirer par les réseaux sociaux et d’être encore devant une vidéo de chat à 1h du matin.

La régularité du sommeil

Nos ancêtres dormaient et se réveillaient aux mêmes heures tous les jours de la semaine… du lundi au dimanche !

Même si tu essayes de rattraper tes nuits courtes en faisant la grasse matinée le week-end, tu vas mal récupérer à cause du pic de cortisol sécrété à ton heure habituelle de réveil.

C’est pour ça que j’étais toujours fatigué malgré mes 10h de sommeil le week-end.

En plus, le Dr Matthew Walker, spécialiste du sommeil, explique que 3 nuits de sommeil à volonté ne suffisent pas pour rattraper 4 nuits à ne dormir que 6h.

Avoir 8h de sommeil de qualité tous les soirs et me coucher à des horaires similaires du lundi au dimanche a été un gros “game changer”.

J’avais juste l’impression d’être une nouvelle personne. Je perdais la graisse de façon constante, j’étais plus productif, de meilleure humeur. Et mes fringales matinales avaient complètement disparu.

Booster métabolique n°3 : Bouger comme nos ancêtres

Et enfin, le dernier secret pour augmenter mon métabolisme… je l’ai découvert lors de mon voyage au Japon.

À ce moment, je faisais encore régulièrement du jogging. Mais je savais que pendant ce voyage qui allait durer 1 mois, mon sport allait passer à la trappe.

Le Japon, c’était un rêve de gosse pour moi. On avait plein de choses à voir et je ne voulais pas gaspiller une seconde. Donc j’ai profité à fond.

Tant pis pour ma diète, tant pis pour mon sport. Je m’occuperai des pots cassés à mon retour.

Et quand je suis rentré, j’étais choqué.

Je n’avais pas pris un gramme sur la balance… alors que je mangeais des sushis et des ramens tous les jours.

Comment ça se fait ?

La puissance du « NEAT »

Tu vois, même sans faire de sport, on a énormément marché. 15 000 à 20 000 pas par jour facilement.

Ça a été une révélation pour moi, car j’ai réalisé que le jogging n’était pas indispensable.

Quand on regarde nos ancêtres au quotidien… Ils ne faisaient pas de jogging. Mais ils se déplaçaient à faible allure, en gaspillant le moins d’énergie possible. Que ce soit pour migrer, pister un animal ou rassembler du fourrage.

C’est l’un de leurs deux types d’activité que j’appelle le mode “cueilleur”. Comme si tu te baladais dans un champ pour cueillir des fraises. Par pur hasard, j’avais découvert la puissance du NEAT.

Le NEAT, c’est quoi ?

C’est l’ensemble des activités physiques du quotidien qui ne sont pas du sport. Et ça compte pour 3 fois plus que l’exercice dans ta dépense d’énergie quotidienne.

Tu connais probablement quelqu’un d’extraverti qui gesticule tout le temps et qui peut manger tout ce qu’il veut sans prendre un gramme et sans faire de sport…

Son secret ? C’est qu’il a un NEAT élevé.

Et ça fait sens, parce qu’en réfléchissant : 1h de jogging ne va pas compenser 15h à rester assis.

À mon retour, j’ai arrêté le cardio classique. Et à la place, j’ai saupoudré ma journée de petites marches.

  • Je descendais du métro 2 stations plus tôt.
  • Les beaux jours, je prenais le vélo.
  • J’avais programmé des petites alarmes toutes les 2h pour me rappeler de me lever et marcher un peu en rond.
  • Après le déjeuner et le boulot, j’ai pris l’habitude de faire une petite marche pour digérer et m’aérer l’esprit.

Ce n’était jamais bien long. 5 minutes par ci, 10 minutes par là.

Mais à la fin de la journée, j’avais accumulé 10 000 pas sans avoir l’impression de faire grand-chose de spécial.

Ça m’a permis d’augmenter mon métabolisme sans effort et de perdre la dernière petite couche de graisse récalcitrante.

Et en plus, ça a amélioré mes relations parce que j’étais devenu plus serviable…

Il manque de la crème fraîche et du pinard ? « Pas de souci les amis, je descends. »

Sortir les poubelles ? « Repose-toi chérie, je m’en occupe. »

Toutes les petites choses du quotidien que je voyais comme des corvées avant étaient soudainement devenues des opportunités pour augmenter mon métabolisme !

Comment augmenter le métabolisme de base

Nos ancêtres avaient deux types d’activité physique : le mode cueilleur… et le mode chasseur.

De temps en temps, ils tapaient un sprint pour attraper un petit gibier ou soulever un gros caillou pour construire un abri.

Donc j’ai remplacé mes 5 séances de jogging longues et ennuyeuses par 3 séances de sport courtes et intenses : sprint, HIIT ou soulever des poids lourds.

En m’entraînant 2 fois moins souvent, 2 fois moins longtemps, mais plus intensément… voici ce qu’il s’est produit…

  • Fini les fringales le soir après mon sport.
  • Je récupérais plus rapidement et j’avais plus d’énergie au quotidien.
  • Et ça m’a permis de gagner du muscle. Pas gonflé comme un bodybuilder… mais du muscle dense qui booste le métabolisme de base.

Le muscle est 3 à 6 fois plus énergivore que la graisse.

Aussi, il faut te rappeler que lorsque tu perds 5 kg, c’est 5 kg de moins à porter quand tu montes les escaliers, que tu cours ou que tu fais le ménage. Tu vas naturellement dépenser moins d’énergie sur les mêmes activités.

Donc c’est important de remplacer ce poids de graisse perdu par du bon poids, du muscle. Et comme ça ne se fait pas du jour au lendemain, c’est important d’augmenter ton NEAT en parallèle.

Que faire pour accélérer son métabolisme? Le dernier point (important)

Quand j’ai appliqué ces 3 principes ancestraux en même temps, c’est là que mon corps s’est transformé en machine à brûler la graisse.

Et si je devais te laisser avec un message, ce serait de ne pas avoir peur de ralentir. De faire un pas en arrière parce que ça permettra à ton corps de faire un bond en avant.

En faisant moins de sport, et en mangeant plus, j’avais de meilleurs résultats. En m’accordant des plaisirs régulièrement, je me sentais plus libre. Et je pouvais enfin m’épanouir dans les autres aspects de ma vie.

Aujourd’hui, je suis heureux de pouvoir partager mon expérience avec toi et peut-être pouvoir un jour le faire aussi avec mes enfants.

Parce que tu n’as pas besoin de faire les mêmes erreurs que moi.

Et même si ce sont les 3 choses essentielles qui ont le plus impacté mon métabolisme, il existe aussi d’autres “boosters métaboliques” qui seront plus ou moins efficaces selon ta situation aujourd’hui.

Ton diagnostic pour débloquer ton métabolisme et perdre le ventre

Si tu veux savoir pourquoi ton métabolique est bloqué et ce qui te permettra de relancer ta perte de poids, réserve ton appel diagnostic gratuit ici :

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Durant cet appel, nous discuterons de ta situation :

  • Je te dirai Pourquoi ton métabolisme est bloqué
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  • Tu pourras décider de mettre en place ce plan par toi-même ou bien que le fasse pour toi et avec toi !

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